14 juin 2010
Orly, canadienne - RCH
Voici le témoignage d'une Canadienne de Toronto, atteinte par la rectocolite hémorragique. Elle évoque :
- son appréhension de la maladie
- le diagnostic tardif, parce qu'elle n'osait pas parler de ces troubles
- de l'importance d'avoir une vie sociale, des amis
- de l'impact psychologique sur la maladie
Un témoignage qui redonne espoir !
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